A ne pas manquer le nouveau site Internet de Google pour entrepreneurs. J`ai parcouru ce site vraiment bien fait et bien complet. C`est un lieu de ressources pour ceux qui veulent entreprendre mais aussi il contient beaucoup d`informations sur les manifestations qui s`organisent dans le monde. Il existe un partenariat avec une association de femmes entrepreneures dans la technologie: Women 2.0. A quand une telle initiative par une entreprise française du CAC 40!
Pour en savoir plus , consultez http://www.google.com/entrepreneurs
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Profile: Ursula BURNS
Born: New York, New York, September 20, 1958
Company: Xerox Corporation
Position: Chairman and CEO
Industry: Printing and Imaging Equipment
Country: United States
Ursula Burns, former president of Xerox Corporation, was named by the board to succeed Anne Mulcahy as chief executive officer effect July 1, 2009 and assumed the role of chairman of the company on May 20, 2010.
She is the first black woman to head a Fortune 500 company. According to Xerox, this is also the first time a female chief executive has replaced another female chief executive at a Fortune 500 company.
Burns was ranked 27th on FORTUNE magazine’s ninth annual list of the 50 Most Powerful Women in Business.
Burns joined Xerox in 1980 as a mechanical engineering summer intern. She subsequently held several positions in engineering, including product development and planning. In June 1991 she became the executive assistant to Paul A. Allaire, then Xerox chairman and chief executive officer.
Check out these links to have more details about Ursula Burns: http://www.blackentrepreneurprofile.com/ /, http://www.businessweek.com/magazine/ , http://news.xerox.com/
Fortune Global 200 companies with highest percentage of women directors
France made best progress on boards due to quotas. A report by Corporate Women Directors International showed that the fortune global 200 companies with highest percentage of women directors are the United States.
Here is an example:
- Proctor & Gamble (USA) – 45.6%
- Wellpoint (USA) – 41.7%
- Statoil Hydro (Norway) – 40%
- General Motors (USA) – 36.4%
- Target (USA) – 36.4%
- WellsFargo(USA) – 35.7%
- HP (USA) – 35.7%
- Deutsche Bank (Germany) – 35%
- FranceTelecom (France) – 33.3%
- PepsiCo (USA) – 33.3%
- McKesson (USA) – 33.3%
- BNP Paribas (France) – 31.3%
- Societe Generale (France) – 31.3%
- Dow Chemical (USA) – 30.8%
- Deutsche Post (Germany)- 30%
- Intel (USA) – 30%
7 conseils pour favoriser l’entrepreneuriat au féminin
Selon une étude du Réseau Entreprendre (association loi 1901 qui aide et accompagne ceux qui souhaitent créer une entreprise) les lauréates (créatrices et reprises d’entreprises) ont en moyenne 36 ans et demi lors de l’attribution du prêt d’honneur. Pour l’ensemble des projets accompagnés par Réseau Entreprendre, l’âge moyen des lauréats est de 38 ans en 2007. La majorité des créatrices sont dans la tranche d’âge 30-39 ans contre 43% pour l’ensemble des lauréats du Réseau Entreprendre.
Cette étude a été réalisée par l’Institut CSA en 2007, pour plus de détails, consultez le site de Réseau Entreprendre sur www.reseau-entreprendre.org
Voici mes conseils pour augmenter la création d’entreprise par les femmes
1/ Il est temps de faire évoluer les mentalités.
Il existe déjà des actions pour sensibiliser à l’entrepreneuriat au féminin telles que la Caravane des entrepreneurs et le Salon des Entrepreneurs. Il faut multiplier ce genre d’actions et s’assurer qu’au niveau local y compris dans les zones rurales que la population soit sensibilisée à cette question et qu’une femme peut tout à fait créer et gérer une entreprise et être prise au sérieux.
Il faut des mini-salons et conférences dans les mairies, les écoles et les médiathèques. Favoriser l’intervention de femmes chefs d’entreprises dans les écoles pour parler aux jeunes . Certaines villes n’ont aucun réseau d’accompagnement à la création d’entreprise. Par conséquent, les femmes ont toujours l’impression de ne pas être prise au sérieux quand elles parlent de leur projet y compris par d’autres femmes et lorsqu’elle gère une entreprise.
2/ Prendre en compte les questions de genre pour les programmes de formations à la création d’entreprise.
I faut prendre en compte la difficulté pour certaines femmes de se déplacer car elles ont des enfants à charge. L’homme préfère amener les enfants à l’école le matin mais est trop occupé pour aller les chercher en fin de journée !
S’assurer que les programmes ne reprennent pas les stéréotypes en se disant qu’une femme n’est pas capable de gérer de nombreux salariés et qu’elle préfère gérer des petites entreprises ou qu’elle cherche à avoir un salaire d’appoint ! Toutes idées préconçues font que la femme va devoir faire face à un vrai parcours du combattant semé d’embûches et de jalousie quand elle est à son compte donc si elle est moins prise au sérieux, elle sera moins soutenue.
3/ Améliorer l’accueil dans les banques
Combien de femmes n’osent plus aller voir les banques quand elles sont à la recherche d’un financement pour développer leur activité en raison de l’attitude des banques peu chaleureuses face à l’entrepreneuriat des femmes ! Les conseillers financiers sont là pour vendre les produits de la banque parfois ils sont incapables de comprendre. Ce ne sont pas des chefs d’entreprise et que ce soit à Londres ou à Paris, il faudrait former les conseillers pour que la banque soit partenaire du chef d’entreprise et non pas un des principaux obstacles à l’entrepreneuriat des femmes.
4/ Mettre en place une vraie solidarité entre les femmes
Il existe de nombreux réseaux au féminin y compris sur Internet qui permettent de se faire aider et accompagner. Il est temps néanmoins que cesse ces rivalités féminines, la jalousie entre les jeunes et les moins jeunes, entre celles qui cherchent le pouvoir et celles qui veulent le garder. Les femmes devraient les premières clientes des autres femmes, les soutenir et les conseiller pour les aider à mieux vendre. Pour éviter d’entendre, je veux ne pas travailler avec d’autres femmes en raison de la jalousie féminine.
5/ Travailler les peurs et le manque de confiance en soi des femmes
Combien de femmes rêvent de créer leur entreprise, mais ne passent pas à l’acte ! Il est temps d’agir et de se former en conséquence. Si vous avez 57 ans, c’est donc le moment de se lancer, la création d’entreprise demande beaucoup de travail, donc d’énergie. Ne pas hésiter à créer avec un associé ou de se faire accompagner par un mentor pour avoir un soutien et de bons conseils.
6/ Il faut mettre en valeur les femmes chefs d’entreprise
La grande tendance est de médiatiser les femmes qui ont réussi en politique. Il est de bon aussi de valoriser celles qui entreprennent même si elles gèrent des micro-entreprises. Il faut aussi montrer celles qui réussissent dans les secteurs dits masculins ou qui n’habitent pas dans des grandes villes. Il est possible de trouver sur Internet des témoignages de femmes qui ont créé leur entreprise et qui sont source d’idées pour tous.
7/ Il faut davantage de femmes dans les centres de décision économiques
A travers le site Internet de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris, on peut lire sa mission : « les 84 élus interviennent auprès des pouvoirs publics locaux, nationaux et européens sur ces grands sujets économiques (…) Ils s’appuient sur les analyses des équipes, juristes, fiscalistes, économistes et des spécialistes des centres d’observation et de recherche pour proposer des évolutions législatives et réglementaires »
Une de ses missions est de former les collaborateurs et futurs dirigeants dont les entreprises ont besoin. Un rapide coup d’œil aux noms des élus est suffisant pour constater le faible nombre de femmes élus. Il faut que les femmes soient candidates à ces postes surtout si elles sont membres de réseaux féminins afin de faire prendre en compte les raisons des obstacles à l’entrepreneuriat des femmes. Il peut être utile de demander à tous les organismes subventionnés par les pouvoirs publics de fournir un rendre compte afin de voir si l` argent est utilement dépensé et finance réellement la mission donnée.
Pour vous aider dans vos projets, nous avons mis en place un programme uniquement en ligne dédié aux femmes qui souhaitent voir enfin leur projet aboutir et qui veulent réussir, par exemple, créer une entreprise ou avoir une meilleure situation professionnelle. Plus besoin de venir à des séminaires à 19h, donc vous n’avez plus d’excuses pour ne pas vous former. Merci de lire la page “membership” du blog.
How to help women reach the top management level?
Recently, I read some news on Internet and I found this.
Maya Palmer explores possible reasons why fewer women are pursuing careers in technology than a decade ago “women accounted for just 18% of UK technology professionals in 2010 ” ( source, www.ft.com , 7th July 2011)
According to Rebecca Knight women may hold the vast majority of staff jobs in the non-profit sector but female leadership is sorely lacking at the senior management (source, www.ft.com , 28th June 2011)
On the 1st of July 2011, EU commissioner for Justice fundamental rights and citizenship Mrs Reding reminds public companies that they must rapidly increase the number of women on boards or face regulation.
A study by Mc Kinsey, the companies where women are most strongly represented at board or top management level are also the companies that perform best.
Marielle Segarra in CFO magazine said women who want to advance to the top spot in finance often need a sponsor. Diversity experts have long argued that women often fail to obtain high level finance roles because they lack the connections that men make informally.
What can I say about this and about the fact it is difficult to see women at the top management in big companies?
I often hear that it is time for women to be on the board of big companies. That is true, but where are these women? It is difficult sometimes to find women who are running their own business. Most of the time it is easier to meet women who are in freelance or a senior manager/ director in a networking event. You have to look for a long time to find high potential women.
Only 12,5% of FTSE 100 directorships are held by women. Ana Patricia Botin is the only female chief executive of a major bank.
That is why European politician call for women to make up one third of bank directors.
My 5 advice to help more women reach the board of big companies:
1. Help more women to set up a business. Women do not have enough confidence and finance to run a business. Some of them decide to become a freelancer after they lost their job. It is not a good idea. Most women who decided to set up their business now can enjoy the freedom in their own life for example to manage their leisure time and to take care after their children.
2. More training about the top management, for example how to be a director and run a board in a big company.
3. Training about self confidence and public speaking.
4. To help women to find a senior mentor/sponsor.
5. To find these women for the top management and company boards , we have to look for women who are on boards of charities and NGO and women who are running very small companies.
Interview: Pip Mc Crostie, vice-chairwoman of Ernst & Young
The Financial Times have a blog in which you can find news and interviews about top women in business called Women at the top.
I was very interested in reading an interview about Pip Mc Crostie who is the Vice chairwoman of transaction advisory services at Ernst and Young. She is originally from New Zealand but she lives now in London with her husband and son.
I recommend you to read this article. Here is an extract of two good questions and answers.
“Is money important to you?
What I get to do is much more important. I’d never take a job for the money. But I’m not going to do a job for nothing, and I’d negotiate if I felt the pay was unfair.
Corporate finance and private equity are still very male dominated — was it hard being a woman?
What attracted me was the business angle, and the fact that I don’t tend to see barriers. It was a nascent business 15 years ago – and, yes, very male dominated. However, I was aware that being a woman was an advantage as clients never forgot you; if they got on with you, it was a positive advantage.”
What can I say about this?
Despite of many campaigns against pay gap, women are still less paid than men for the same work. Some people say that women do not ask a pay rise or they do not negotiate for their salary during a job interview. It is time to change this!
Only 12 of the FTSE company directors are female in UK. Not enough women ask for a mentor to help them to succeed in their career. It is obvious we have to learn how to run a board in a big company.
To read the interview click on www.ft.com/
Les 30 premières entreprises françaises dirigées par des femmes
Le magazine l’entreprise a publié un classement des 100 premières entreprises françaises dirigées par des femmes dans son numéro du mois d’avril 2011. Voici le classement des 30 premières entreprises françaises dirigées par des femmes.
Nom Société Poste CA (K€)
1: Margarita Louis-Dreyfus LOUIS DREYFUS Président 35 000 000
2: Marie-Christine Coisne-Roquette SONEPAR PDG 11 900 000
3: Anne Lauvergeon AREVA Président du directoire 8 529 000
4: Clara Gaymard GE FRANCE SNC Président 5 226 000
5: Marie-Christine Caubet VOLKSWAGEN-FRANCE Président du directoire 5 145 108
6: Françoise Gri MANPOWER-FRANCE Président 3 342 000
7: Sophie Kornowski-Bonnet ROCHE PDG 1 771 000
8: Isabelle Kocher LYONNAISE DES EAUX Directrice générale 1 666 612
9: Maureen Chiquet CHANEL PDG 1 366 942
10: Sophie Dubois NESTLE PURINA PETCARE-FRANCE Président 812 389
11: Caroline Grégoire Sainte-Marie FRANS BONHOMME Président 740 991
12: Laurence Paganini TROIS SUISSES FRANCE PDG 719 585
13: Jeanne Pollès PHILIP MORRIS-FRANCE Président 686 457
14: Marie-Odile Amaury LES EDITIONS P.AMAURY PDG 658 885
15: Monique Piffaut AGRIPOLE (PAUL PREDAULT) Présidente 582 421
16: Emmanuelle Boulanger WYETH PHARMACEUTICALS-FRANCE PDG 538 971
17: Elisabeth Fleuriot KELLOGG’S PRODUITS ALIMENTAIRE PDG 500 296
18: Nathalie Andrieux MEDIAPOST PDG 427 195
19: Isabelle Patrier CALDEO PDG 379 188
20: Patricia Brochard SODEBO Président 360 000
21: Martine Jourdren BAI Président du directoire 332 300
22: Florence Noblot DHL INTERNATIONAL EXPRESS PDG 325 666
23: Isabelle Kocher SDEI PDG 313 689
24: Myriam Cadi FIRALP Président 310 000
25: Anne-Marie Couderc PRESSTALIS Directeur général 308 945
26: Anne-Sophie Grave GROUPE EFIDIS Président du directoire 308 569
27: Iris Knobloch WARNER BROS FRANCE PDG 302 874
28: Anne Leitzgen SALM Président 297 196
29: Marie-Anne ‘Lasserre MAXIMO PDG 260 000
30: Teresa Cremisi FLAMMARION PDG 242 811
Pour en savoir plus consultez le site internet www.lentreprise.com/
Entreprendre au féminin: faire aboutir son projet de création d`entreprise
30% des femmes sont entrepreneurs en France et en Grande Bretagne. Vous avez décidé de sauter le pas et de créer votre entreprise ! Vous êtes prête à faire démentir cette idée que les femmes ont tendance à s’exclure elles-mêmes de l’entrepreneuriat car elles pensent qu’elles n’ont pas les compétences nécessaires pour créer et gérer une entreprise ! Vous avez raison car il est temps de faire taire cette idée.
1. Mettez toutes les chances de votre côté pour réussir
En France 70% des femmes créent leur entreprise avant 35 ans ( tandis qu’en Grande Bretagne c’est entre 45 et 55 ans qu’on trouve la majorité des créatrices d’entreprise) et elles sont à 33% à avoir un niveau d’études inférieur au bac ( source ESSEC/ entreprendre au féminin). Si vous pensez que vous avez besoin d’une formation qualifiante ou non faite un bilan de compétences auprès de votre agence pôle emploi. Consultez aussi la chambre de Commerce et d’Industrie et faîtes une formation spécifique pour les entrepreneurs intitulée « Entreprendre en 5 jours » qui est très utile pour apprendre les bases au niveau administratif et fiscal. 28,1% des entrepreneurs européens considèrent que le fait de manquer d’information et de conseils est un obstacle à l’entrepreneuriat ( source ESSEC).
2. Prenez le temps de bien préparer votre projet
28% des femmes font appel au crédit bancaire et elles affirment rencontrer une plus difficulté à y accéder que les hommes (source ESSEC ). On entend souvent dire qu’il existe de nombreuses sources de financement pour les femmes et de nombreux sites sur Internet recensent ces sources mais peu disent comment vraiment avoir cet argent. C’est encore plus difficile maintenant où les banques prêtent peu au TPE-PME et où les gouvernements en Europe ont choisi de mettre en place une politique de rigueur. Le gouvernement anglais par exemple réduit les subventions et les aides financières aux organismes chargés d’aider à la création d’entreprises. Il est clair qu’il ne faut pas attendre sur les aides de la part du gouvernement mais continuer une activité salariée même à temps partiel pour financer son projet et s’assurer un revenu en attendant que votre entreprise devienne rentable. Faites appel à l’aide financière de la famille et des amis si vous pouvez. Cependant comptez sur vos propres ressources financières et physiques car c’est vous qui allez piloter votre projet.
3. Savoir gérer son temps
L’idéal est d’avoir un planning hebdomadaire et/ou journalier et de lister la veille les choses à faire pour le lendemain et de barrer de la liste la tâche qui a effectuée. Savoir s’organiser va vous aider à travailler de façon efficace et sans pression. Gérer son temps c’est aussi savoir maîtriser son stress. Faites un classement entre les choses importantes et urgentes.
|
Important |
URGENT | NON URGENT |
| Urgent et important | Non urgent mais important | |
|
Non important |
Urgent mais pas important | Non urgent et non important |
4. Rencontrer d’autres créateurs d’entreprise
27,7% des femmes en Europe considèrent que le manque de contact est un obstacle au développement d’une entreprise. Avez -vous déjà observé ces femmes qui viennent accompagnée d’une amie à une soirée de networking et finissent par discuter seules dans leur coin ? Le mieux est de venir seule comme font les hommes et d’entamer la conversation. Il est impossible de n’avoir personne à qui parler puisque tout le monde est venu pour le networking. Vous avez des enfants en bas âge et vous ne pouvez vous permettre de sortir tous les soirs ! Qu’à cela ne tienne, créer donc votre profil sur les réseaux sociaux en particulier Linkedin et Viadeo et vous pourrez rentrer en contact avec d’autres chefs d’entreprise. Vous pouvez aussi vous inscrire à des forums sur Internet . N’hésitez pas à fréquenter les salons sur la création d’entreprise pour recevoir des conseils gratuits et rencontrer d’autres entrepreneurs.
5. S’entourer de vrais professionnels
Il faut combattre votre peur d’échouer. La peur se dilue dans l’action dit-on ! Rien de mieux que de se lancer dans la création d’entreprise avec un mentor qui pourra vous soutenir à chaque étape de votre projet. Vous doutez de vos compétences, rien de tel que de faire appel à un coach pour vous aider à vous débarrasser de vos doutes, vous pourrez ainsi reprendre confiance en vous et faire aboutir votre projet.
Commencer les premières actions de prospection pour trouver des clients, il faut faire connaître ses produits et/ou services mais il faut aussi savoir garder ses clients. Si la vente n’est pas votre fort, faites appel à des spécialistes. En fonction de votre budget, vous pourrez recruter un travailleur indépendant ou faire appel à une agence de marketing.
Pour faire face au démarrage de l’activité, consultez le site de l’Agence pour la création d’entreprise sur http://www.apce.org/.
Some figures about women in business in UK
According to a poll by Business Link one woman in 5 is looking to grow and develop their business despite the recession.
16% of UK small businesses are women owned so this clearly a sector which provides a significant contribution to the UK economy.
Majority of women owned businesses are more likely to be in publishing, education, health and social work, other communities services.
At the University of East London in November 2010, Baroness Judith Wilcox, parliamentary under-secretary for business, Innovation and skills welcomed guest to the event: ‘to be an entrepreneur requires confidence, self-belief, a refusal to be defeate by banks, suppliers and often the family, who love you so much they prefer you to take the soft option and be satisfied , belief in yourself must come from within.”
More details on the website of the University of East London, http://www.uel.ac.uk/
54% of women decide to start a business so they can choose what hours they work.
A third of the female population would start a business if it was not for the fear of failure.
70% of women owned businesses seek advice at the start up phase.
The fear of debt is the single largest barrier to entrepreneurship.
Source: Women Enterprise Task force, http://www.womensenterprisetaskforce.co.uk/
7 conseils pour créer son entreprise à Londres
Vous envisagez de créer une entreprise ou une filiale à Londres pour partir à la conquête du marché anglais, voici mes conseils pour débuter votre activité et éviter de nombreux pièges pour celui qui ne maîtrise pas bien la culture anglophone.
1. Prendre en compte la situation économique actuelle. Il est effectivement beaucoup plus rapide de créer son entreprise à londres. Le Royaume Uni est au premier rang européen pour recevoir les investissements étrangers. D’ailleurs 30% des investisseurs à la City sont étrangers. Toutefois le pays a été très fortement touché par la crise financière. Le Royaume Uni et l’Irlande sont les deux pays les plus endettés de l’Union européenne. Depuis le 4 janvier 2011 le taux de la taxe à la valeur ajoutée (TVA) a été relevé à 20%. Pour installer votre entreprise ou une filiale à Londres, rapprochez-vous de l’ambassade de Grande Bretagne de votre pays de résidence et consulter le site Internet de UK Trade and Investment (www.ukti.gov.uk) où un conseiller saura vous donner des informations utiles.
2. Attention à l’ouverture du compte bancaire. L’idéal est de se faire accompagner d’un spécialiste du système bancaire anglais si vous ne maîtrisez pas assez bien l’anglais. Il faut prendre en compte que tout est de plus en plus gérer par Internet et par les centres d’appels. Il peut aussi être difficile de rencontrer son conseiller financier. Beaucoup d’agences locales sont fermées le samedi voire le mercredi après-midi, certaines ferment à 16h ! Après vous n’aurez plus que le choix d’appeler la hot line où le service client est plus au moins efficace. Le mieux est de préparer une liste de questions dès le premier rendez-vous et de bien vous faire expliquer la tarification bancaire.
3. La comptabilité. Ayez recours à un expert-comptable qui connaît bien le système fiscal britannique, sachez bien négocier car les tarifs sont très élevés. Si vous envisagez au début de tenir votre propre comptabilité pour cause de restrictions budgétaires il est très recommandé de suivre une formation à la comptabilité anglaise d’une journée que vous pouvez recevoir gratuitement . Pour connaître les dates des prochaines formations, consultez le site de business link (www.businesslink.gov.uk/london) .
4. Pensez à l ‘administratif, la téléphonie, l’assurance, les fournisseurs d’accès à Internet :vous aurez besoin de tout cela au démarrage de l’activité. Bien prendre en compte que si vous avez une difficulté vous n’aurez pas de d’autre choix que d’appeler un centre d’appel. Pour bien choisir vos fournisseurs, consultez le site de Which qui est un organisme chargé de la défense des consommateurs anglais (www.which.co.uk).
5. Pensez aussi à la fiscalité et surtout à l impôt sur les sociétés. Vous pouvez télécharger des brochures sur le site de HM Revenue and Customs ( www.hmrc.gov.uk) mais il est préférable de demander conseil à son expert-comptable car il sera responsable de faire le bilan de votre société et de faire la déclaration de l’impôt sur les sociétés à l’administration fiscale. Il faut aussi se mettre en conformité avec le droit du travail surtout si vous avez des employés, le mieux est de consulter le site du Health and Safety Executive (www.hse.gov.uk )et de l’Acas, (www.acas.org.uk) où vous aurez la possibilité de parler à un conseiller et de télécharger des brochures utiles.
6. Pour trouver un logement. Vous envisagez sans doute de venir au moins 2 à 6 moins pour superviser le lancement de votre entreprise à londres. Pour trouver un logement temporaire hôtel, hostel, Bed and breakfast, le choix ne manque en fonction de son budget. Néanmoins n’envoyez pas de l’argent de l’étranger sans avoir visité et évitez les agences immobilières qui vont vous demander de l’argent mais qui en fait n’ont aucun logement à louer ! En un mois on peut trouver un appartement à louer le mieux est de venir sur place et de consulter le magazine Loot ou pour le partage d’appartement de regarder le site de Gumtree, www.gumtree.com .
7. Le recrutement de personnel. Il existe de nombreuses agences de recrutement mais faites attention à leur réputation. Il est possible de recruter par l’agence Reed, qui a un site Internet très développé, www.reed.co.uk . Le mieux si votre budget est réduit est d’avoir recours à des freelances que vous pouvez recruter en passant une annonce sur www.elance.com ou sur www.peopleperhour.com . Vous pouvez aussi avoir recours à l’agence locale pour l’emploi où vous pouvez déposer une annonce gratuitement en faisant appel à Job centre ; www.jobcentreplus.gov.uk .
Un autre article sur la création d’une entreprise à Londres ou en France( le titre est : faut -il installer son entreprise à Londres?)peut se lire à cette adresse: https://mentoringforwomen.wordpress.com/2012/10/22/faut-il-instal…rise-a-londres
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